Wheeler Burden vit à San Francisco en 1988. Un matin il se réveille à Vienne en 1897. Ca tombe bien car il connaît plein de choses sur cette ville à cette époque. Un de ses profs à l’université faisait une fixation sur ce lieu à ce moment de l’histoire car cela représente à ses yeux un tournant dans l’histoire. Quitte à être coincé en 1897, Burden va en profiter pour voir du pays et consulter un psy, quelqu’un avec une approche révolutionnaire pour l’époque, un certain Sigmund Freud…
Ce roman est très riche, bien documenté et on se plonge dans une ville, dans une époque. On suit Burden, un peu perdu, au fil de ses rencontres et de ses amitiés, dont certaines pourraient lui coûter cher. J’ai trouvé le roman un peu long : c’est un joli pavé et on ne sait pas toujours où l’histoire nous mène. La fin est prévisible quand on lit bien le début du roman.
Pas mal mais pas un coup de cœur.