Résumé (éditeur)
Londres. Sa Tamise, son célèbre pont, son brouillard, sa banlieue… et ses vampires. Chef charismatique, mousquetaire, danger public ou simple quidam, chacun laisse une empreinte différente dans la Maison qu’il sert. Cette non-vie, trop souvent imposée, plus ou moins bien acceptée, se heurte à la réalité des vivants qui viennent chambouler des existences dont ils ignorent tout. Face à cette problématique, les vampires improvisent, s’adaptent, luttent pour demeurer dans l’ombre ou, au contraire, satisfaire de nouveaux appétits.
Partez à la découverte de ces individus hors du commun au travers de huit nouvelles où les lecteurs de La Maison de Londres retrouveront des personnages familiers
Critique
Dans ce recueil de nouvelles, le lecteur retrouve l’univers de La Maison de Londres du même auteur. Nous sommes de retour à Londres, à la fin du XIXe siècle. Il existe des vampires, organisés en maison avec à leur tête un chef qui décide de l’orientation à donner à leurs activités et aux dispositions à prendre pour rester dissimulé parmi les hommes.
Ce que j’ai aimé dans ce recueil de nouvelles, c’est sa diversité. Le lecteur qui connaît La Maison de Londres est déjà familier avec trois des vampires, que l’on retrouve dans certaines des nouvelles mais d’autres permettent de rencontrer des nouveaux personnages et de nouveaux destins.
J’ai aussi apprécié les portraits de certains vampires par l’auteur et intégrés dans l’ouvrage. Globalement, ce volume est un bel objet, aussi bien dans sa facture que dans son contenu.
Encore un ouvrage de Lydie Blaizot que j’ai lu avec plaisir : riche, varié, et pourtant j’avoue avoir du mal à lire le format nouvelles