Résumé éditeur :
Suite à la tragique disparition de son époux, lady Elena Duchêne s’est retirée du monde en compagnie de Fripouille, son capucin, et de ses domestiques. Lorsque vient enfin l’heure de quitter ses habits noirs, les prétendants se bousculent à sa porte. Mais la vie bouillonnante de Paris est bien plus attirante. Partout, on ne parle plus que l’horloge de Notre-Dame et de ses aiguilles qui disparaissent chaque soir à minuit précise. Lady Elena n’a dès lors plus qu’une idée en tête : découvrir ce qui se trame dans la plus haute tour de la cathédrale.
Critique :
Finalement, j’ai profité des offres du 1e septembre et bien m’en a pris. J’ai surtout acheté des nouvelles ou des textes courts, comme Le Mystère de la tour de l’horloge de Rébecca Borakovski, auteure assez jeune (née en 1988) qui pour le moment a publié deux nouvelles, celle-ci et une autre dans un recueil.
J’ai beaucoup aimé cette nouvelle. Elle se lit bien. Le style est très fluide et soigné. Bref, une lecture agréable.
Pour l’intrigue, tout a son importance et j’ai trouvé l’histoire bien construite avec un dénouement auquel je ne m’attendais pas. Le monde proposé, très steampunk, est intéressant.
Coté personnages, tout d’abord j’ai trouvé qu’il y avait des passages avec beaucoup de prénoms féminins au point de me perdre un peu, notamment un au début de la nouvelle. Sinon, j’ai trouvé Elena assez intéressante, débrouillarde mais pas trop vu l’époque / l’ambiance de l’histoire.
J’ai eu l’impression que cette nouvelle annonçait, potentiellement, une suite des aventures d’Elena et j’avoue que j’aimerais bien d’autres histoires dans ce genre-là.