Myfanwy reprend conscience dans un parc londonien, entourée de cadavres. Elle ne sait plus qui elle est. Elle trouve dans l’une de ses poches une lettre écrite de sa main. Elle savait qu’elle allait perdre la mémoire et s’offre un choix : tout quitter et recommencer sa vie ailleurs ou rejoindre la Checquy, une organisation gouvernementale qui combat les forces surnaturelles…
Critique
On suit les aventures de Myfanwy, jeune femme qui se réveille un soir amnésique, entourée de cadavres. Elle découvre aussi très vite qu’elle a des pouvoirs. Elle peut contrôler le système nerveux des gens rien qu’en les touchant. Elle trouve aussi dans sa poche une lettre lui offrant un choix : recommencer sa vie ailleurs ou reprendre celle de sa première identité, mais avec une épée de Damoclès au dessus de la tête : l’un de ses collègues cherche à la tuer.
Le lecteur découvre donc avec l’héroïne cette organisation très spéciale qu’elle a décidé de re – rejoindre malgré les menaces qui pèsent sur sa vie. La Checquy est un organisme gouvernemental britannique qui a pour but d’endiguer les menaces surnaturelles.
Le surnaturel chez O’Malley est assez particulier. Il a son propre bestiaire : êtres humains dotés de pouvoir (un peu à la superhéros), quelques rares vampires mais globalement on n’y trouve pas une pléthore de monstres connus. Amoureux des loups-garous et des vampires, passez votre chemin.
Globalement le roman est sympathique. On ne voit pas les 660 pages défiler mais je n’arrive pas à être enthousiasmée. L’auteur compte écrire des romans dans cet univers. Cela peut être sympa mais je ne suivrai pas activement.